L’aigle royal

J’étais en train de chasser mes proies, il faisait très beau et je me suis dit que les animaux seraient de sortie. Tout à coup, je vois une vingtaine d’enfants qui fourmille au loin. Ils étaient tout petit mais ils ont débarqué en gesticulant et en criant. Avec tout ce bazar, je ne trouverai jamais rien à manger ! Bon je vais chasser ailleurs, ils effraient mes proies et je ne peux plus nourrir mes petits. Mais ce n’est pas possible ! Ils continuent de me suivre ! Enfin, ils s’arrêtent. Mais voilà un de mes copains qui arrive en volant à toute vitesse. On ne peut jamais être tranquille ! Je retourne à mon aire voir mes aiglons.

Emy et Alexanne

La brebis

Je suis tranquillement allongé dans l’herbe et je contemple les montagnes et les arbres je suis tranquille,quand tout à coup, j’entends des bruis et je vois un groupe d’humains qui court et qui crie. Je m’ éloigne, je les observe, ils se sont arrêtés. Les chiens aboient puis se calment. Je pars parce que ces enfants m’énervent plus que la cloche autour de mon cou. Je vais brouter, une de mes amies est morte dans le champ. Les vautours vont venir la manger. Je suis un peut triste mes c’est ma vie de brebis. Au loin,le groupe s’éloigne et mon troupeau retrouve son tintamarre rassurant de cloches et de bêlements.

Lucas et Tipène

Le chien de berger

C’est bizarre ce matin : il y a beaucoup de bruit dans la montagne . Je vais tourner autour de mon troupeau pour vérifier les alentours. Bon, ça fait une heure que je tourne, je suis fatigué, je vais me reposer. Ho la la, un groupe d’humains arrive. Que veulent-ils à ma famille ? Nous sommes en position de défense. J’ai l’impression qu’ils ne sont pas malintentionnés, parce que mon maître parle avec eux mais je reste aux aguets… tout en me reposant. Ils partent, j’aboie une fois pour leur dire au revoir, je suis poli et cordial quand on se comporte bien avec moi.

Nathael et Louis

Le bergerRetour ligne automatique
Je me trouve dans la nature au milieu de prairies, de montagnes et de mes brebis. Un groupe d’élèves vient m’interroger. Jo, pour les saluer saute la clôture. A la fin de l’interview, ils montent voir les brebis et redescendent affolés par le vue d’une brebis morte dans le champs. Je leur explique que c’est pour nourrir les vautours des environs. Après 1H30, ils partent enfin de mon terrain pour me laisser tranquille avec mes brebis. Je retourne à la ferme voir le reste de mon troupeau, cet été je l’emmènerai dans le Vercors ou en Savoie brouter dans de verts pâturages en les surveillant bien pour éviter les attaques de loups.

Rose ; Lison et Lubin